Le Département confie à Ecomicro, chaque année, 78 tonnes de matériel informatique mais aussi électronique. Engagée dans une démarche d’insertion, l’entreprise de Saint-Loubès recycle et reconditionne nombre de pièces remises ensuite en circulation.
Fernando Gamito, chef adjoint du service des usages numériques au Département tient à cette démarche. « Nous avons la responsabilité de gérer le cycle de vie des machines que l’on achète jusqu’à leur élimination. Aux côtés d’Ecomicro, nous devons suivre leur parcours jusqu’à leur reconditionnement ou à leur destruction. » Julien Maranon qui a repris les rêves de l’entreprise familiale en 2004, agit avec éthique.
« Nous avons la responsabilité de gérer le cycle de vie des machines que l’on achète jusqu’à leur élimination. Aux côtés d’Ecomicro, nous devons suivre leur parcours jusqu’à leur reconditionnement ou à leur destruction. »
Julien Maranon qui a repris les rêves de l’entreprise familiale en 2004, agit avec éthique. « En récupérant du matériel des entreprises et des collectivités au lieu de le laisser partir dans une décharge, Ecomicro a la volonté d’apporter une réponse environnementale à une problématique d’informaticiens. » Précisons que si 25 personnes travaillent sur le site de Saint-Loubès, 10 autres en situation de handicap psychique et mental dans l’ESAT Bel Air d’Eysines, mènent des opérations de déconstruction des ordinateurs.
Dans les locaux d’Ecomicro passent, chaque année, 40 tonnes d’ordinateurs, 15 000 équipements sont traités tous les mois et 2 à 3 000 appareils remis sur le marché à destination des particuliers et des entreprises.
Portrait à découvrir dans le Gironde Mag n°149